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29 mars 2009

Marc DUFOUR en 3ème position sur les européennes

dufour.jpgOn se souvient qu’à la suite du vote des adhérents en Février dernier, les têtes de liste pour les élections européennes avaient été aussitôt proclamées. Pour notre “région européenne” - qui va de l’Atlantique landaise à la Méditerranée languedocienne, en couvrant au passage toutes les Pyrénées - les têtes de liste du Mouvement Démocrate choisies sont Robert ROCHEFORT et Anne LAPERROUZE (députée sortante).

 

Il restait cependant à nommer les candidats suivants pour compléter la liste de cette région.

 

Nous avons appris qu’en troisième position sur cette liste, François BAYROU a désigné, pour représenter le Languedoc-Roussillon, Marc DUFOUR, Président du Mouvement Démocrate de l’Hérault, Adjoint au Maire de MONTPELLIER.

 

Toutes nos félicitations à cet excellent ami, proche de Corinne PONCE-CASANOVA et François VAN DE VILLE qui étaient près de lui, on s’en souvient, ses colistiers gardois lors des dernières élections régionales.

 

Un regret cependant : notre Président gardois - Philippe BERTA - qui occupait cette même 3ème position lors des précédentes élections européennes - n’a pas été retenu par François BAYROU pour représenter de nouveau notre région sur cette liste. Mais il ne faut voir dans ce “jeu de chaises” aucune intention particulière mais la reconnaissance de la montée en puissance de la Fédération de l’Hérault depuis sa reprise en mains énergique par Marc DUFOUR.

 

Bravo donc à notre ami et bonne chance à toute cette équipe qui peut compter sur l’entier soutien de notre Fédération gardoise.

19 mars 2009

Régis VEZON, Délégué Départemental

vezon.jpgRégis VEZON vient de recevoir de François BAYROU la notification officielle de sa nomination comme Délégué Départemental du Mouvement Démocrate du GARD.

 

Il devient ainsi le "bras droit" du Président Philippe BERTA et de son équipe collégiale.

 

Régis VEZON n'est pas nouveau dans ce type de fonction : il avait déjà été nommé aux mêmes fonctions voici plusieurs années par François BAYROU à la période où le Mouvement Démocrate s'appelait alors.... l'UDF. C'est à  ce titre que, selon les statuts de l'UDF, il a rempli les fonctions de Président Départemental pendant la période intérimaire où son ancien Président - Mr Yvan LACHAUD - avait démissionné (Mai 2007) et l'élection du nouveau Président - Philippe BERTA - en Septembre 2008, période de transition difficile où il a su conduire notre Mouvement (naissant) avec tact et rigueur.

 

Félicitations au "nouveau" Délégué et pleine réussite à sa mission.

COMMUNIQUÉ OFFICIEL

COMMUNIQUÉ OFFICIEL

du MOUVEMENT DÉMOCRATE du GARD

 

Il est faux de prétendre que la France est moins touchée par la crise que les autres pays.


Pour le Mouvement Démocrate du GARD, des décisions urgentes s’imposent :

 

  • Créations d’emplois : afin de ne pas les décourager en une période où le chômage est redevenu un fléau national, il faut annuler immédiatement l’exonération des charges sociales sur les heures supplémentaires
  • Formation des futurs enseignants : le gouvernement veut faire croire qu'il veut améliorer le niveau de professionnalisation en mettant le niveau de recrutement à BAC + 5. La réalité, c'est que la stagiairisation disparaît grâce à ce tour de passe-passe (économie de 12.000 euros pas professeur reçu au concours). Le plus grave est que les futurs Professeurs des Ecoles sortiront pour certains sans avoir testé des pratiques pédagogiques comme c'était le cas dans les IUFM et les anciennes Ecoles Normales
  • Enseignement supérieur : il faut éviter que l’autonomie soit synonyme de privatisation confiée à des barons locaux. Les projets actuels de décrets doivent être annulés. La fonction d’enseignant doit être réhabilitée par la création d’une prime pédagogique accordée sous le contrôle du Conseil National des Universités, et non pas laissée à la seule discrétion des Présidents d’Universités. En plus, si l’on veut que nos Universités soient à la hauteur des enjeux face aux grandes écoles, l’encadrement doit être renforcé dans de nombreuses disciplines. Les chercheurs doivent cesser d’être pénalisés selon des critères purement subjectifs.


L’attitude actuelle du Président de la République ne cesse de créer de nouvelles polémiques pour diviser les français entre eux. Les exemples se multiplient :

 

  • Information : nomination des Présidents de chaîne à la discrétion du Président
  • Finances : nomination, en dépit de toutes règles déontologiques, des responsables de groupes par le pouvoir
  • Justice : mainmise accrue sur les nominations des juges
  • Institutions : réformes à la va-vite pour accentuer la mainmise de ce même pouvoir
  • Etc...

 

L’heure présente et la gravité de la situation imposent, tout au contraire, un rassemblement urgent de tous les français unis dans une plus grande solidarité et plus de justice sociale pour gagner ce combat. C’est ce que réclame le Mouvement Démocrate du GARD.


C’est pour affirmer cette volonté que le Mouvement Démocrate du GARD est solidaire des manifestations du 19 Mars.


Philippe BERTA

Président du Mouvement Démocrate du Gard


Régis VEZON
Délégué Départemental du Mouvement Démocrate

14 mars 2009

BAYROU ACCUSE ELKABBACH

Débat très vif sur l'antenne d'Europe 1 entre François BAYROU et  Jean-Pierre ELKABBACH sur l'intégration de la France dans le commandement de l'OTAN. Beau morceau de bravoure.

13 mars 2009

UN EMPRUNT EUROPÉEN FACE À LA CRISE ?

drapeau.jpgBernard LEHIDEUX, Député européen du Mouvement Démocrate, n'est pas peu fier : le Parlement européen a adopté ce mercredi 11 Mars un amendement au rapport Ferreira sur le plan de relance, qu'il a déposé au nom des eurodéputés bayrouistes.

 

Cet amendement, qui reprend une proposition de François BAYROU, «invite les États-membres, notamment ceux faisant partie de la zone euro, à étudier la possibilité d'un grand emprunt européen, garanti solidairement par les États-membres».

 

Quelques élus de l'UMP, comme Jacques TOUBON, Alain LAMASSOURE ou Margie SUDRE, ont voté l'amendement LEHIDEUX.

 

Le Président SARKOZY saura-t-il répondre positiverment à cette invitation pour donner, enfin, une dimension européenne aux aides nécessaires pour traverser cette crise ?

11 mars 2009

François BAYROU sur France 3

Ceux qui se sont attardés ce mardi 10 devant leur écran de télévision ont pu voir et entendre sur France 3 une émission dont l'invité principal était.... François BAYROU.

 

Confronté notammenent au philosophe Régis DEBRAY, les téléspectateurs se sont laissés emporter par une discussion d'un niveau exceptionnel.

 

Voici cette émission de France 3 qu'on ne peut que vous recommander de visionner.

28 février 2009

AFFAIRE PÉROL : BAYROU PERSISTE ET SIGNE

S'appuyant sur l'article 432-11 du Code Pénal, François BAYROU souligne le caractère gravement illégal de l'opération PÉROL qui a conduit le pouvoir à faire main basse sur la Caisse d'Épargne et la Banque Populaire en les obligeant de fait à se mettre sous sa tutelle. Un véritable coup d'état.

 

Voir la vidéo de l'entretien que François BAYROU a accordé à plusieurs journalistes à ce propos. Édifiant !

25 février 2009

QUAND LE PRÉSIDENT MENT....

QUAND LE PRÉSIDENT MENT.....

Sarko.jpg Ainsi donc, si l’on en croit la presse de manière maintenant générale, le Président SARKOZY mentirait quand il affirme - c’était il y a encore quelques heures seulement - qu’il aurait reçu l’aval de la Commission de Déontologie pour autoriser Mr PEROL à prendre la présidence de ce qui sera demain la deuxième banque française issue de la réunion de la Caisse d’Épargne avec la Banque Populaire. Étant précisé que, “par hasard”, Mr PEROL, ancien banquier de Rothschild & Cie, est aussi un ami proche de Mr SARKOZY qui lui est redevable de quelques “petits services” passés. On appelle çà offrir un “parachute doré”.

L’affaire, qu’on a d’abord essayé de minimiser, prend plus d’ampleur quand Mr GUEANT, l’éminence grise de l’Élysée, avoue du bout des lèvres que le Président de cette Commission - Mr FOUQUET - n’a en effet donné qu’un “avis personnel qui n’engage pas la Commission”. Et nul ne nie plus davantage maintenant que cette Commission ne s’est pas réunie depuis un mois, ni que celle-ci dispose aussi d’un délai d’un mois pour délibérer sur toute question qui est soumise à son avis.

Or, dans le cas PEROL, celui-ci n’a pas encore été évoqué devant la dite Commission. Et, pourtant, entre le moment du souhait émis par Mr SARKOZY de voir son ami prendre la présidence de ce nouveau groupe et sa nomination effective - prévue ce mercredi 25 Février - il ne se sera écoulé que quelques dizaines d’heures. (Très vulgairement), on appelle çà se “f.... du monde”.

Les dirigeants de la Caisse d’Épargne sont furieux de ce procédé cavalier où on voit un chef de l’État leur confisquer leurs prérogatives sous prétexte d’une éventuelle participation à hauteur de 20% du nouveau capital. Toute la jurisprudence, toutes les règles de droit sont ainsi bafouées. Mais il est vrai que, déjà, Mr SARKOZY veut avoir la haute main sur toutes les autres nominations en France (presse, justice et, maintenant, banquiers) : il y a décidément autour de Mr SARKOZY beaucoup de monde à placer !

Je ne me souviens pas avoir déjà vu procédé aussi cavalier vis-à-vis des institutions de régulation de notre République.

Bien sur, m’objectera-t-on, quel responsable politique n’a jamais menti à ses concitoyens ? On connaît les “pieux mensonges” d’État, ceux que l’art de la négociation ou de la diplomatie imposent parfois à nos gouvernants. Mais mentir à ce niveau pour simplement favoriser l’ascension fulgurante d’un ami personnel, c’est du jamais vu.

Je trouve que voici l’acte le plus grave depuis le commencement du quinquennat de Mr SARKOZY. Est-ce que la France avait besoin  de cela, de cette perte de toute crédibilité de son chef d’État au moment où elle est confrontée à la pire crise internationale qu’elle n’ait jamais connue depuis des dizaines d’années et où il est nécessaire qu’il n’y ait nulle tempête à la barre qui la dirige ?

Est-ce qu’un tel manquement ne relève pas de la Haute Cour de Justice ? Pour l’intérêt même de la France dans les circonstances présentes, je ne le souhaite pas. Mais ceci n’ôte en rien la gravité de la situation ainsi créée.

François VAN DE VILLE

22 février 2009

LE NOUVEAU BILLET de François VAN DE VILLE

François VAN DE VILLE vient de publier un nouveau billet "À PROPOS DE L'ÉVOLUTION DE L'OPINION".

Besancenot, Bayrou, Sarkozy, Aubry, qui est susceptible de bousculer demain l'ordre pré-établi ? La conclusion de cette étude sur l'opinion est surprenante. De quoi espérer....

18 février 2009

LA FERMETURE DE LA BASE AÉRO-NAVALE DE NÎMES

UN DÉSASTRE SOCIAL ORCHESTRÉ DANS LES ALCÔVES

ban.jpg De par mon statut de Vice-Président du Mouvement Démocrate du GARD, Conseiller Municipal et ancien Adjoint au Maire de Saint-Gilles, je me dois de réagir aux divers articles et réactions de certains élus concernant l’annonce de la fermeture de la Base Aéronavale ou plutôt, l’annonce du retrait des rafales de cette base, entraînant de facto sa fermeture.

Je suis atterré par ce que j’ai lu ou entendu. Comment ces élus, et en particulier ceux qui sont proches du Ministre de la Défense, peuvent–ils prétendre tomber des nues à cette annonce. En effet, ils sont les seuls responsables de ce désastre.

Tout a commencer il y a de ça 3 ou 4 ans, lorsque la Préfecture se devait de revoir le Plan d’Exposition au Bruit (PEB) autour de l’aéroport. Ce PEB a pour fonction de limiter et contrôler les types de construction et habitation autour de l’aéroport, notamment du fait de la présence des rafales, avions réputés bruyants. Bien évidemment les villes les plus impactées par les restrictions du PEB étaient Garons et Saint-Gilles. L’essentiel de la surface de la commune de Garons et une bonne partie du Nord de la commune de Saint-Gilles devenant, pour simplifier, inconstructibles.

Ce projet de PEB allait alors rencontrer la colère d’élus bien placés.

J’ai personnellement assisté à une réunion, courant 2007, dans les locaux de l’opposition au Conseil général, organisée par l’ancien Maire de Garons, Mr Yannicopoulos, sous l’égide du Député de la 1er circonscription Mr Yvan Lachaud, qui sous prétexte de préparation de la réunion préfectorale sur le PEB, avaient réuni les élus touchés par le PEB (Député UMP de la 2eme circonscription, le représentant de la Mairie de Saint-Gilles) et, allez savoir pourquoi, certains particuliers triés sur le volet, pour faire un véritable lynchage programmé des rafales !

L’ancien Maire de Garons avait d’ailleurs une virulence incompréhensible sur ce dossier, n’entendant absolument pas les arguments que j’avais notamment apporté concernant le risque de voir la base fermer si nous rejetions de force les rafales, suite à l’annonce du gouvernement de réfléchir sur la fermeture éventuelle de certaines bases.

Nous savions tous que notre BAN était visée. Monter au créneaux contre les rafales avec une telle virulence allait annoncer sa mort et démontrait une totale irresponsabilité ou vision politique sociale.

L’ancienne municipalité de Saint-Gilles, particulièrement concernée par le danger que représenterait la fermeture de la BAN, est de nombreuses fois intervenue auprès du Ministère pour montrer son désaccord autour de la situation des rafales.  Je ne peux d’ailleurs qu’être désolé de voir que la Mairie de Saint-Gilles actuelle n’agisse pas plus pour sauver son aéroport. Mais il y a certainement une bonne raison pour cette inaction.

Mais, mobilisant autour de leur fronde, Mrs Yannicopoulos et Lachaud,  aujourd’hui Nouveau Centre et très proches de Mr Hervé Morin, Ministre de la Défense, Président du Nouveau Centre, ont signifié au Préfet en réunion PEB qu’ils s’opposaient aux rafales sur la BAN. A son tour, Mr le Préfet leur a signalé qu’une telle attitude risquait d’entraîner, dans le contexte actuel, la fermeture de la BAN avec les conséquences sociales désastreuses que cela engendrerait. Il les a mis devant leurs responsabilités d’élus.

Malgré ces avertissements, ils se sont servis de leurs relations au Ministère et se sont permis de parler au nom des tous les élus malgré que nous ayons refusé de rentrer dans leur jeu. Le Ministère, face à cette pression apparaissant, vu de Paris, comme un manque de soutien des élus à leur BAN, ne pouvait qu’anticiper le départ des rafales et donc sonner la fin de la Base.

Des centaines d’emplois en danger, l’économie d’un département entier fragilisée car certains élus du Nouveau Centre, bien placés, ne voulaient plus entendre le bruit des avions !

Ou est-ce juste pour permettre à certains promoteurs immobiliers de récupérer les terres libérées autour de Garons ? Car en effet, le départ des rafales, la fermeture de la BAN, entraînent révision du PEB et donc, constructibilité totale des terres autour de Garons. On peut soulever la question non…. ?

Le devenir de l’aéroport civil

Ce n’est pas révéler un secret que de dire que des réflexions sont engagées, et peut être à juste raison, pour faire de l’aéroport de Montpellier le seul aéroport civil du Languedoc-Roussillon. Des accords entre élus en charge de responsabilité, UMP comme PS, semblent d’ailleurs prendre forme pour cela.

Je ne critique pas cette stratégie qui peut se révéler payante pour le devenir de la Région, mais, si cette hypothèse, qui semble bien engagée, se réalise, je critique le faux espoir que certains élus, en particulier UMP et Nouveau Centre, laissent entendre autour de l’aéroport civil Nîmes-Garons.

Il est facile de penser que la fermeture de l’aéroport civil en arrangerait certains, notamment la municipalité Nîmoise qui rêve, depuis son premier mandat, de se débarrasser de l’aérodrome Nîmes-Courbessac pour, là aussi, récupérer les terres au profit de promoteurs immobiliers.

Qu’il est alors très simple que, sous couvert d’une décision de l’Etat de fermer la BAN (décision dont malgré tout ces élus sont responsables comme nous venons de l’exprimer), on puisse déclarer, et la lecture de Midi-Libre montre que ça a commencé, que le contrôle aérien de l’aéroport ne sera pas viable sans la BAN, et donc que l’aéroport n’a plus de raison de continuer son activité.

Que, de ce fait, les pistes de l’aéroport n’ont plus vraiment d’intérêt, sauf si, en sauveur, (ô surprise !), le Maire de Nîmes nous annonce, avec tout le soutien de la Communauté d’Agglomération, qu’il a la fabuleuse idée d’y transférer l’aérodrome de Nîmes-Courbessac et maintenir ainsi un semblant d’activité ! Espérons que M. Yannicopoulos, même s’il n’est plus maire actuellement, ne soit pas dérangé par le bruit des simples bimoteurs !

Ainsi, les prometteurs immobiliers auraient le champ libre, avec la bénédiction de la ville de Nîmes, sur les terrains de Courbessac pour faire de superbes lotissements autour de la SMAC. Et ces élus, si soucieux de la cause publique et sociale, chercheraient à apparaître comme des héros en laissant un semblant d’activité sur l’aéroport, pensant faire oublier les centaines d’emplois et les nombreuses familles qu’ils ont détruits par leurs manœuvres immobilières…

Mais là, mes amis, je suis certainement dans de la fiction politique, et j’espère franchement y être car une confirmation de ce scénario ne montrerait que la « grandeur » de nos politiques en charge des dossiers aujourd’hui.

Démocratiquement

Samuel SERRE

Vice-Présient du Mouvement Démocrate du GARD